La route droite à perte de vue... quelques dromadaires ici et là...

Des dromadaires nous attendent…
Nous sommes vêtus en djellaba et coiffe berbère d’un vert flashy...
Quel déguisement... sourires et rires...


Céline ne faisait pas la fière...

Étape suivante: choisir sa monture...
"Moi j'veux pas un marron foncé" me souffle ma blonde amie, il sera donc pour moi...
Le levé de la monture est un instant périlleux... tout le monde s'en tire bien...
Céline marmonne : « quelle idée j’ai eut de monter sur un dromadaire ! , qu'est ce que je fous ici!»

Contrairement aux idées reçues, le dromadaire ne pue pas vraiment...

Par contre je n'ai pas vraiment trouvé de position des plus confortables...
Mais il faut bien avouer que j'avais bien choisi la monture: elle était tout aussi gourmande que moi! (Dixit Céline)
Nous voila parti pour une heure trente de balade jusqu'aux dunes, avec un petit oasis... dans Lequel fut tourné quelques scène de Lawrence d'Arabie (légende urbaine ?)


C'est parti!

Les bêtes sont un peu têtues, elles se frottent les unes aux autres, nous improvisons un tiercé... Le mien n'aime pas qu'on le double...
Elles sont conduites par une corde par des jeunes, qui laissent souvent la corde sur l’encolure du dromadaire, celui-ci va ensuite à peu près dans le sens de la caravane…

Au bout de la corde, le domadaire :)

Celui de Céline est accroché au mien…
Faire des photos n'est pas chose aisée, l'animal n'est pas vraiment des plus stable ...

la première ombre c'est moi! et la seconde Céline...

Premières dunes en vue

Laché en "dromadaire libre"... jusqu'à la prochaine touffe d'herbe ;-)

Le vent sculpte le desert...

Volutes...

Il fait très chaud et il est presque midi…
C'est beau mais je m'attendait à quelque chose de plus grandiose... j'avais tellement vu de déserts aux sables ocres en photo que ces dunes aux sables blancs m'ont laissé un peu sur ma faim..


A perte de vue...

le dromadaire de Céline, accroché au mien mais toujours désireux de me doubler.... il avait une tête toute douce à gratouiller..

Tout le monde est content de cette épique balade...

Au retour nous nous arrêtons dans une palmeraie, le guide nous explique que les dattes ici s’appellent les « doigts de soleil »  ou » doigts de lumière », je ne m’en souviens pas exactement.. elles sont protégées par un sac plastique pour éviter qu’elles se gorgent d’eau en cas de pluie, ce qui les déprécieraient…
Il nous est expliqué aussi qu’il faut planter alternativement un dattier mâle et un femelle…


La palmeraie

Les précieuses dattes bien protégées...


Une datte présentée par ma charmante assistante :-)

Ensuite nous partons déjeuner... chrono en main. Nous n'avons qu'une heure... heure sur laquelle est prévu un rafraichissement dans la piscine de l'hôtel qui nous accueille ce midi
...
La baignade est des plus méritée, même si l’eau n’est pas très chaude !

Celà valait le coup de se dépêcher de manger non?

(suite et fin bientôt!)